Benoit Fabre

Le Collegium Musicae à l’université de Varsovie

En déplacement à l’université de Varsovie début mars, le directeur du Collegium Musicae, Benoît Fabre, fait le point sur la rencontre avec nos partenaires polonais autour de la musique et des potentielles collaborations dans le cadre de l’alliance 4eu+.

Quel était l'objectif de ce déplacement ?

Benoît Fabre : Je suis parti à l’université de Varsovie en compagnie de la secrétaire générale du Collegium Musicae, Agnès Puissilieux, ainsi que du responsable du service culturel de la faculté des Lettres, Yann Migoubert afin de consolider nos relations avec notre partenaire polonais. Cette rencontre avait pour objectif de dessiner des pistes de collaborations entre l’université de Varsovie et le Collegium Musicae, l’un des instituts thématiques pluridisciplinaires de l’alliance Sorbonne Université et imaginer un premier projet en commun.

Qui avez-vous rencontré ?  

B. F. : Nous avons pu échanger avec le directeur de l’institut de musicologie de l’université, ainsi que les responsables des différents axes thématiques. Nous avons également rencontré le directeur de l’institut d'études romanes, la responsable du festival des Sciences et le correspondant 4eu+. Nous avons aussi discuté avec le porteur de projet musique, la conservatrice du Musée national de Varsovie et l’attaché de coopération scientifique universitaire à l'ambassade de France à Varsovie. Enfin, nous avons eu l'honneur d'être conviés à l'inauguration officielle d'une plaque commémorative à la mémoire de Chopin ainsi qu'à un concert de ses œuvres.

Quels projets sont nés de ces échanges ?

B. F. : Nous souhaitons mettre en place un projet de collaboration entre nos deux universités autour du monde musical en Europe à différentes époques. Plusieurs pistes ont été évoquées pour initier concrètement ces travaux de recherche. La rédaction d'un pré-projet est d’ores et déjà en cours.

Que retirez-vous de cette rencontre ?

B. F. : Ce déplacement nous a permis de mesurer le potentiel de l’alliance 4eu+ dans le cadre de la formation et de la recherche. Ce fut aussi l’occasion de réfléchir à des axes de collaborations, et d’apprécier les similarités, les différences et les complémentarités de nos cultures universitaires.