• Institut des sciences de la Terre de Paris
  • Laboratoire d'océanographie et du climat
  • Milieux environnementaux, transferts et interactions dans les hydrosystèmes et les sols
  • Observatoire des sciences de l'univers Ecce Terra

Terre-Mer-Sols

  • Mesures géologiques, géophysiques, hydrogéologiques et géochimiques in situ

3 parcs d’instrumentation pour l’acquisition de données en géosciences marines et terrestres.

Présentation

Sous-parc «Terre » piloté par l’UMR 7193, qui comprend des instruments géophysiques pour l’étude de la terre solide, tels que des stations sismologiques, des GPS permanents ou encore des sondes thermiques en développement. Une grande partie des instruments de ce sous-parc est en permanence mobilisé sur des chantiers. Des instruments plus spécifiques de mesure de flux de chaleur sont déployés offshore, sur les sédiments. Des demandes extérieures sont reçues régulièrement (p. ex. IFREMER, IPGP). D’autres instruments du parc sont couramment prêtés ;

Sous-parc « Mer », piloté par l’UMR 7159 : les principaux instruments proviennent du parc national de la DT, mais également de l’IRD. Les instruments de la plateforme sont prêtés régulièrement à d’autres équipes. Une assurance est demandée aux emprunteurs ;

Sous-parc « Sols », piloté par l’UMR 7619, qui regroupe des instruments d’étude de la Zone Critique (ZC) et des surfaces et interfaces continentales. Il comporte du matériel de géophysique de proche surface, d’hydrologie, d’hydrogéologie et de géochimie. Il dénombre ne centaine d’instruments de valeurs variables, qui sont prêtés (notamment dans le cadre du réseau « Géophysique des Sols et des Formations Superficielles », qui regroupe les géophysiciens de Sorbonne Université, du BRGM, de l’IRD, de l’INRA et de l’Université Paris-Sud Orsay), sous réserve de retour en bon état. A noter que le financement du parc a pour une part importante été assuré par les filières d’enseignement, le reste par les laboratoires et contrats divers. Les principaux laboratoires impliqués sont METIS et IEES, mais aussi HBAN (IRSTEA) et MinesParisTech.

Expertise :

Sous parc Terre. L'ensemble de l'instrumentation (souvent complété par des outils d’acquisition associés aux navires) et les stations de traitement permettent l'acquisition et l'analyse des données acoustiques marines et terrestres d'un large spectre (sondeurs bathymétriques multifaisceaux, sondeur de sédiments haute résolution, sismique réflexion multi-traces, OBS et stations sismologiques). Le SIG est mis en place pour l'archivage, l'intégration et la distribution de toutes ces données au sein du labo et vers nos partenaires.

Sous parc Sols : le matériel de ce sous-parc est principalement du matériel de terrain, utilisés sur les sites observatoire de la ZC (notamment le site de l’Orgeval), de la Zone Atelier Seine, du PIREN-Seine, de l’inrstructure de recherche OZCAR etc. 
 

Sous-parc Terre :

ce sous-parc est pour partie intégré à la plateforme "SIS-Imagerie-SIG" propre à ’ISTeP et qui est composée de quatre éléments principaux (les deux premiers constituant le sous-parc de l’OSU) :

  • Instrumentation de sismologie et GPS permanents
  • Instrumentation de géosciences marines (Sippican, centrale inertielle, sondes thermiques)
  • Stations cluster/licences traitement des données (Sismique-OBS-bathymétrie)
  • Stations/licences SIG

Sous-parc Mer :

répondre aux demandes de soutien technique (instrumentation/campagnes à la mer/traitement de données) des équipes du LOCEAN qui, dans le cadre de campagnes de mesure nationales ou internationales, travaillent avec d’autres laboratoires ou organismes. Le prêt de matériel à d’autres équipes est sans contrepartie, sauf besoin d’étalonnage avant ou après éventuellement pris en charge dans ce cadre d’échange. L’activité de l’équipe DITM au sein du LOCEAN est détaillée sur le site du LOCEAN.

Sous-parc Sols :

mise à disposition de la communauté (Sorbonne Université, réseau Geofcan, extérieurs académiques, institutionnels, ou encore industriels) de matériels de description d’écosystèmes, de géosystèmes, et d’hydrosystèmes. Le nombre d’appareils est d’environ une centaine, allant de la biogéochimie à la géophysique de proche surface (ou géophysique appliquée, ou hydrogéophysique), en passant par l’hydrogéologie et l’hydrologie. Ces appareils sont principalement des appareils commerciaux, mais il existe aussi, en géophysique, des prototypes développés à l’UMR 7619 METIS.

Ouvert aux établissements publics / Devis sur demande.

Responsables : voir le site de la plateforme