Le serment d'Augusta - Saison 3
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Le Serment d’Augusta : saison 3

Le podcast qui réinvente la relation soignant-soigné revient pour une troisième saison et continue sa réflexion sur la place des patientes et des patients au sein du dispositif médical.

Episode 3 : J’accompagnerai leur choix, 2/2 : J’accompagnerai l’arrêt de la grossesse

Un épisode réalisé avec le concours de Raphaël Perrin

Quand une malformation est détectée sur un fœtus au cours de la grossesse, les parents se retrouvent devant un choix : poursuivre la grossesse et faire face à notre société validiste, ou demander une interruption médicale de grossesse (IMG) — un parcours souvent marqué par une grande douleur émotionnelle, parfois par un véritable deuil périnatal. 

Ce cheminement que font parents et soignant⸱es main dans la main, nous allons l’explorer en deux épisodes, tous deux pro-choix. Pro-choix, car Le Serment d’Augusta veut soutenir aussi bien le choix des femmes quand elles avortent, quelles que soient leurs raisons ; que le choix des parents d’élever leurs enfants, quels que soient leur corps et leurs capacités à la naissance.

Dans cette deuxième partie, deux couples ont choisi d’interrompre la grossesse. Comment se passe une IMG au-delà de 20 semaines de grossesse ? Quelles ressources mobilisent les patient⸱es pour traverser ce moment ? Comment les soignant⸱es les entourent-iels ? Lorsqu’une anomalie génétique est détectée pendant la grossesse, un diagnostic prénatal permet de la confirmer et d’orienter le choix des parents. Pour les grossesses futures, un diagnostic pré-implantatoire peut aussi être proposé. Quels enjeux éthiques entourent ces pratiques diagnostiques ? 

 

NB : Si vous ne l’avez pas écoutée, la première partie de ce double épisode suit les parents qui ont fait le choix de poursuivre la grossesse. Ces deux épisodes fonctionnent en diptyque, écoutez-les tous les deux !

Episode 2 : J’accompagnerai leur choix, 1/2 : J’accompagnerai la poursuite de la grossesse

Un épisode réalisé avec le concours de Dre Lucie Guilbaud

Quand une malformation est détectée sur un fœtus au cours de la grossesse, les parents se retrouvent devant un choix : poursuivre la grossesse et faire face à notre société validiste, ou demander une interruption médicale de grossesse (IMG) — et vivre un parcours souvent émotionnellement difficile. Ce cheminement que font parents et soignant⸱es main dans la main, nous allons l’explorer en deux épisodes, tous deux pro-choix. 

Pro-choix, car Le Serment d’Augusta veut soutenir aussi bien le choix des femmes quand elles avortent, quelles que soient leurs raisons ; que le choix des parents d’élever leurs enfants, quels que soient leur corps et leurs capacités à la naissance.

Dans cette première partie, deux couples ont choisi de poursuivre la grossesse. Une équipe médicale pluridisciplinaire les accompagne. Comment le validisme va-t-il affecter leur vie, et celle de leur enfant ? Pourquoi dit-on qu’une personne est "en situation de handicap" plutôt que "handicapée", et pourquoi c’est important ?

La deuxième partie, à paraître bientôt, suivra les parents qui ont fait le choix de demander une IMG. Ces deux épisodes fonctionnent en diptyque, écoutez-les tous les deux !

Episode 1 : J’écouterai leurs histoires jusqu’au bout (2/2)

Longtemps, on a considéré qu’on cessait de vivre au moment du dernier soupir : quand on « expirait ». Puis c’est l’arrêt des battements du cœur qui a déterminé le décès. Depuis la première greffe cardiaque, une alternative est venue tracer la frontière entre la vie et la mort : la ligne de l’électroencéphalogramme plat. Mais plutôt qu’un interrupteur, la mort ne serait-elle pas plutôt un processus ? Un passage, fait de continuité et d’incertitudes ? 

Si la médecine cherche de longue date comment déterminer le moment de la mort ; les personnes qui vivent et accompagnent la fin de vie cherchent : les mots. Les mots qui apaisent, donnent du sens, relient les vivants et les morts. 

Dans cet épisode, nous vous invitons à explorer la frontière fluide et mouvante entre la vie et la mort, guidés par la médecine narrative. Car raconter son histoire de vie peut être une forme de soin pour ceux qui partent, comme pour ceux qui restent ; qu’ils soient proches, soignantes ou soignants. 

Les saisons précédentes

Liens utiles

  1. Site officiel